Il paraît qu'il y a un début à tout: la nature.

Donc, au début, selon de sources sûr, il y avait le Néant...un vide immense qu'il a bien fallu combler...Est alors apparu la flore, puis la faune, et enfin : l'Homme. Sûrement ce qui a été la plus grosse erreur. En effet, cette race vile, égoiste, et ignoble s'est multipliée et s'est établit sur chaque parcelle de terre. Je ne vais pas retracer toute l'histoire de l'humanité, cela serait bien trop long et très certainement dès plus approximatif. Je ne vais pas non plus exprimer le dégoût que je peux éprouver à l'en contre de l'Homme. Car étant moi même Homme, je ne suis pas à même de juger. Ce que je peux toutefois me permettre de demander c'est, de quelle manière en sommes nous arrivés là? Je ne veux pas dire par ceci pourquoi nous sommes au XIXème siècle...mais comment? Qu'a t il bien pu se passer entre ce Néant et Aujourd'hui? Il s'agit là d'une question qui va tout droit à l'Homme, et aux motivationx de ces agissements.

L'image ci dessus est selon moi, le témoignage incontestable d'une Histoire qui a mal tournée!! (lol)    En effet, lorsque je regarde cette image, et je peux vous assurer l'avoir contempler un bon moment, je ne peux cesser de me demander comment. Bien sûr, la réponse semble facile, presque évidente: innovations technologiques, révolution industrielle, les guerres, les Trentes Glorieuses, la consommation de masse...bla bla bla...et pourtant! Ne serait ce pas plus complexe?

Il y a maintenant un tout qui à dénaturé le début.

Quoi de mieux que le Penseur de Rodin, pour illustrer la pensée qui est la mienne à ce moment présent...?

La pensée humaine, tellement contradictoire, tellement trompeuse, tellement stupide, tellement vivante... Qui ne pense pas? Quel que soit la situation ou le moment, tout le monde est sujet à penser, à réfléchir, à se demander. Pourquoi je ris, pourquoi je pleure? pourquoi j'aime, pourquoi je déteste? pourquoi je veux, pourquoi je n'ai pas envie? Là, j'écris cette article, sans trop savoir à quoi il va aboutir. Parce que c'est ma pensée qui s'exprime à cet instant, je n'ai pas réfléchi au but de cet article, mais maintenant qu'il est là, je vais aller au bout, et on verra.

L'opinion, ce que les gens expriment après avoir pensée. La plupart du temps, le résultat n'était pas celui escompté. On dit des choses que l'on ne pense pas vraiment au fond. On agit, comme on devrait le faire, et pas comme on voudrait le faire. L'opinion est sûrement ce qu'il y a de plus dangeureux, car c'est le moyen le plus sûr, pour un être humain de se faire entendre (pas forcément de toujours se faire comprendre, mais bon, cela est un autre débat), d'exister, d'être reconnu. L'opinion porte sur de vaste sujet, cela entraine une conversation, une dispute parfois, ou une entente (si si ça arrive que des gens soient d'accords^^). Toujours est il que j'aime à penser (lol) que l'opinion est une bétise. Pourquoi les gens on se besoin permanents de toujours dirent ce qu'ils pensent, de s'affirmer ou de se faire valoir en disant telle ou telle chose?

Je vis avec l'idée que ma pensée est fossée, influencée, mutilée...Le fait est que nous croyons penser par nous même, mais c'est faux. Etant Homme de culture, notre pensée est déterminé par la société dans laquelle on vit, par les moeurs qui nous ont été transmises. De ce fait, la pensée ne sert à rien, et n'est nullement le reflet de ce que nous sommes.

Je sens que je me perds dans cette article, je vais donc tenter de recentrer ma pensée afin de m'exprimer clairement : il n'est nul besoin de dire, mais plutôt de montrer. Les mots disent, mais seuls les actes parlent. A force de toujours vouloir s'exprimer, on prends le risque de ce dénaturé soi même, et de n'exister que par culture. Montrer, c'est faire appel à notre nature.

***Définition***

***Clé***

J'entends souvent que le vie est nulle, que la vie est dure, que la vie est triste. Mais au fond, nous sommes nous déjà interroger sur le sens de la vie, sur son déroulement et son échéance? Bon, on est tous d'accord pour s'entendre sur le fait que nous naissons, pour ensuite grandir, travailler, aimer, pleurer, regretter et mourir. Mais entre tout ça, il se passe d'innombrable chose dont nous se sommes pas forcément le maître.

J'existe, je subsiste, je persiste dans cette lutte, dont je sais par avance n'être pas le vainqueur. Où trouver la volonté de vivre, alors? Dans l'expérience bien sûr. L'homme construit, comme il détruit. Là est le sens de la vie.

Deux interrogations me viennent. Bien vivre pour soi? ou bien vivre pour l'avenir d'autrui? Beaucoup choisirons de profiter de la vie sans penser à demain et de se comporter sans se souvenir d'hier. Mais un petit nombre, conscienceux de l'avenir, choisirons de bâtir des choses en s'efforçant de les faire perdurer . J'aimerais faire partie de ceux là, non pas pour en tirer une quelconque gloire ou reconnaissance, mais vraiment par besoin de laisser aux générations futures une raison de vivre. Je veux dire par là, que je puise ma volonté de vivre à travers les empruntes des anciens. Pas forcément ceux qui ont marqué l'Histoire, mais c'est gens dont le quotidien ont rempli l'Histoire. Ces hommes et ces femmes qui se sont battus pour leur droit, pour leur liberté, pour la vie, tout simplement. Cette vie, que certains aujourd'hui refusent ou accusent d'être dure! Quel hypocrisie, quelle ingratitude, quel égoisme!

Se plaindre lorsqu'on a tout, c'est oublier ceux qui n'avait rien...                                                                                                       Se plaindre de ce qu'on a, c'est oublier qu'on pourrait tout perdre...